De nos jours, les groupes de musique jouent essentiellement du piano, de la guitare - qu'elle soit électrique, séche ou basse - de la percussions. Dans les harmnoies, saxophones, trompettes, trombones, flutes et d'autres instruments s'y ajoute. Pourtant quelques instruments peuvent être inconnu du grand public. Malheureusement pour les oreilles de notre jeune écrivain, ce n'était pas le cas. Sa petite soeur étant venue passer la soirée, chez elle s'amusait avec un ocarina. Aimant la musique et un personnage de jeu vidéo, elle avait acheté cet instrument sur internet et la jeune écrivain n'aimait pas fortement le son produit par sa soeur. Elle lui proposa alors d'arrêter le morceau en échange d'un écrit sur son ocarina.
Cela se passe à notre époque. Quelque part dans le Nord de la France. La nuit était sombre en ce mois de Décembre et prés d'un chapiteau, une jeune femme d'une vingtaine d'année, assise sur un fauteuil roulant observer les étoiles. Elle était bien emmitouflée, le chapiteau était en fête, les spectacles tournaient à plein régime, mais la jeune femme était triste. Elle s'appelle Ophélie et autrefois elle était une enfant prodige pour l'acrobatier à cheval. Jusqu'à son accident ou du moins se qui paraissait être un accident.
Elle n'avait que 10 ans. En plus d'elle, une autre fillette du même âge, Amélie. Cette dernière était toujours la seconde. Toujours derrière Ophélie. Même dans les spectacles. Elle était plus applaudait qu'elle. La jalousie avait pris possession d'Amélie qui avait imaginé un plan horrible. Alors qu'Ophélie était en entrainement, Amélie avait ouvert la porte de la cage d'un éléphant et lui avait tié une fléchette avec une sarbacane. L'animal pris peur, se cabra et dévala dans le chapiteau dans le chapiteau. Le cheval sur lequel s'était entrainé Ophélie se cabra à son tour et fit tomber sa maîtresse. Elle n'eut pas le temps de se lever que l'éléphant lui écrasa les jambes, devant son grand père impuissant.
L'éléphant et le cheval s'enfuirent, il fallait les rattraper. Même s'ils étaient inquiet pour leur fille les parents d'Ophélie savaient qu'ils devaient protéger le reste de la troupe mais aussi les spectaeurs. Rapidement la mère de famille, ancienne acrobate réussi à monter sur le cheval pour l'emmener courir ailleurs. Le père de famille lui usa de ses illusions pour fa ire apparaitre des nuage de fumée afin de dévier la route de l'immense mamifère. Monsieur Loyal put voir l'étendu des dégâts quand les deux animaux s'étaient enfuis. A part Ophélie, il n'y avait pas de blessés aux allentours. Quelques dégâts matériels, des tentes déchirées, une caravane renversée, du matériel pour le jonglage. Mais rien de bien important. Du moins au premier abord. Alors que Ophélie était ramené au service des urgences, Monsieur loyal allait assisté à un horrible spectacle. Outre que les deux animaux avaient disparus, il retrouva dans une plaine, au milieu de magnifiques fleurs rougit par du sang. Les corps de sa fille et son beau-fils magicien. L'un contre l'autre sans vie. Quand il fallut l'annoncer à Ophélie. Monsieur Loyal, le grand père offrit dans un premier temps un instrument qui avait appartenu à sa fille : un ocarina.
Désormais, incapable de larcher, Ophélie vendait le pop corn, faisait la vente des entrées du spectacle, présente les animaux aux curieux en dehors du spectacle et éduque à son tour les enfants, comme l'avait sa mère. Amélie avait quitté le cirque aprés l'accident. Tous les soirs Ophélie s'entrainait à jouer des morceaux dans la nuit noire. C'était à la fois pour s'entrainer afin de faire des petits concerto pour la troupe mais elle continuait aussi à faire partie de la troupe. Elle jouait quelques morceaux d'ocarina pour certains tour féérique ou alors pour une interlude afin que les esprits se reposent. L'ocarina dans lequel elle jouait lui permis d'avoir une nouvelle vie. De renaître. Ce qu'elle ignorait cependant c'est que cet ocarina était destiné à être le sien, cela devait être son cadeau de Noël de ses 10 ans de la part de ses parents.
A suivre...