Paf. Le sac tombe sur le sol, mouillé, rempli de nombreux cadeaux à l'intérieur. L'écrivain souffle, la fièvre commence à monter au fur et à mesure que les écrits se termine, que les publications se suivent. Elle ne recherche aucune gloire dans ces derniers. Juste l'envie d'écrire, de partager se qu'elle a dans sa tête. De laisser une trace comme ce fut le cas de la part de ses parents qui lui guidera la voix de l'écriture comme passion. Elle avait envie de faire briller les yeux des personnes. Elle avait envie de faire rêver le maximum de personne.
"Encore un peu. Résiste." souffle-t-elle en se relevant, observant un plat en tupperware. Un repas que sa mère avait préparé pour elle. Un repas qu'elle n'avait pas à faire. Et puis, une nouvelle idée survient dans son cerveau. Ca y est encore une nouvelle histoire.
"Et un canard laqué pour la une ! Deux steak bien cuit pour la trois. Allez on se dépéche!" hurle Hector dans les cuisines où il travaille. Cela faisait longtemps qu'il avait quitté les cuisines de sa grand-mère pour être désormais son propre chef. Mais son rêve avait à la fois un grand plaisir, mais aussi un énorme soucis. A l'approche de Noël, avec tout ses couverts à servir, il ne pouvait pas se reposer. Et surtout, le soir de Noël, lui et sa femme seraient les seuls à travailler. Pas de commis, pas d'autres cuisiniers. Seuls à travailler le soir du Réveillon. Même avec un salaire augmenté, même avec des suppléments, les bosseurs avaient décidé de prendre le Noël.
Hector aurait put fermer pour Noël. Mais il attendait une invité de marque. Et comment, c'était la personne qui lui avait apprit la cuisine. Sa grand mère allait venir, elle allait goûter sa cuisine dans son restaurant et non seulement à la maison. C'était l'ambiance et le service qui allait être juger cette fois. Hector était à la fois impatient et aussi apeuré par ce qu'il allait proposé à sa grand mère. Aussi, il répéta sans cesse les plats en les préparant aux autres clients, à ses propres employés. Encore et encore pour être parfait le jour où il le proposera à sa grand mère.
Hélas, le jour arrivant, un critique gastronomique arriva. Il avait réservé lui aussi une table et n'ayant peu de personnel, Hector se trouva fort dépourvu quand les commandes furent venues. Plus rien à faire. Il avait tout oublié, il était trop stressé. Et maintenant, il avait une vingtaine de plat à servir. Sa femme tenta de le rassurer et de l'aider du mieux qu'elle le pouvait. Mais rien n'y faisait. Le stress était plus fort que tout et Hector savait qu'il allait rater ses plats.
Aussi, sentant le stress en cuisine, la grand mère Ursula âgée de 90 ans se rendit sur place. Même avec l'âge, elle conservait une grande forme. Aussitôt entrée dans la cuisine, elle attrapa les épices, les ingrédients et se mit à jouer de ces mains pour faire parvenir des mets les plus délicieux. Toutes les recettes, elle les avaient dans la tête. Par l'odeur, elle savait si tel viandes ou tel poisson était bien cuit. Par la couleur, elle savait si les légumes étaient cuits ou manquer de cuisson. Par le bruit, elle savait si le beurre était assez chaud pour recevoir les oignons coupés en petit morceaux. La dame qui était à la retraite depuis pas mal d'année et qui pouvait se reposer, avait choisi d'aider son petit fils en retournant derrière les fourneaux. Mais le travail n'était pas que par elle. C'était des plats fait à quatre mains. Celle d'Hector et de sa grand mère. Pour une fois, ils étaient côtes à côtes dans la cuisine et non pas l'un en face de l'autre comme c'était souvent le cas. Ils étaient enfin ensemble pour sortir les plats pour le critique gastonomique.
Une fois les plats servi, une fois la critique faite, le critique salua l'énergie de la personne qui malgrés son grand âge avait toujours autant d'énergie à revendre.
"La cuisine c'est toute ma vie monsieur. Je ne pourrais jamais me passer de ça." sourit la dame en rendant tout de même son tablier au jeune chef, qui une fois de plus se trouva fort admiratif face à cette femme fabuleuse.
A suivre...
Paf. Le sac tombe sur le sol, mouillé, rempli de nombreux cadeaux à l'intérieur. L'écrivain souffle, la fièvre commence à monter au fur et à mesure que les écrits se termine, que les publications se suivent. Elle ne recherche aucune gloire dans ces derniers. Juste l'envie d'écrire, de partager se qu'elle a dans sa tête. De laisser une trace comme ce fut le cas de la part de ses parents qui lui guidera la voix de l'écriture comme passion. Elle avait envie de faire briller les yeux des personnes. Elle avait envie de faire rêver le maximum de personne."Encore un peu. Résiste." souffle-t-elle en se relevant, observant un plat en tupperware. Un repas que sa mère avait préparé pour elle. Un repas qu'elle n'avait pas à faire. Et puis, une nouvelle idée survient dans son cerveau. Ca y est encore une nouvelle histoire."Et un canard laqué pour la une ! Deux steak bien cuit pour la trois. Allez on se dépéche!" hurle Hector dans les cuisines où il travaille. Cela faisait longtemps qu'il avait quitté les cuisines de sa grand-mère pour être désormais son propre chef. Mais son rêve avait à la fois un grand plaisir, mais aussi un énorme soucis. A l'approche de Noël, avec tout ses couverts à servir, il ne pouvait pas se reposer. Et surtout, le soir de Noël, lui et sa femme seraient les seuls à travailler. Pas de commis, pas d'autres cuisiniers. Seuls à travailler le soir du Réveillon. Même avec un salaire augmenté, même avec des suppléments, les bosseurs avaient décidé de prendre le Noël.Hector aurait put fermer pour Noël. Mais il attendait une invité de marque. Et comment, c'était la personne qui lui avait apprit la cuisine. Sa grand mère allait venir, elle allait goûter sa cuisine dans son restaurant et non seulement à la maison. C'était l'ambiance et le service qui allait être juger cette fois. Hector était à la fois impatient et aussi apeuré par ce qu'il allait proposé à sa grand mère. Aussi, il répéta sans cesse les plats en les préparant aux autres clients, à ses propres employés. Encore et encore pour être parfait le jour où il le proposera à sa grand mère.Hélas, le jour arrivant, un critique gastronomique arriva. Il avait réservé lui aussi une table et n'ayant peu de personnel, Hector se trouva fort dépourvu quand les commandes furent venues. Plus rien à faire. Il avait tout oublié, il était trop stressé. Et maintenant, il avait une vingtaine de plat à servir. Sa femme tenta de le rassurer et de l'aider du mieux qu'elle le pouvait. Mais rien n'y faisait. Le stress était plus fort que tout et Hector savait qu'il allait rater ses plats.Aussi, sentant le stress en cuisine, la grand mère Ursula âgée de 90 ans se rendit sur place. Même avec l'âge, elle conservait une grande forme. Aussitôt entrée dans la cuisine, elle attrapa les épices, les ingrédients et se mit à jouer de ces mains pour faire parvenir des mets les plus délicieux. Toutes les recettes, elle les avaient dans la tête. Par l'odeur, elle savait si tel viandes ou tel poisson était bien cuit. Par la couleur, elle savait si les légumes étaient cuits ou manquer de cuisson. Par le bruit, elle savait si le beurre était assez chaud pour recevoir les oignons coupés en petit morceaux. La dame qui était à la retraite depuis pas mal d'année et qui pouvait se reposer, avait choisi d'aider son petit fils en retournant derrière les fourneaux. Mais le travail n'était pas que par elle. C'était des plats fait à quatre mains. Celle d'Hector et de sa grand mère. Pour une fois, ils étaient côtes à côtes dans la cuisine et non pas l'un en face de l'autre comme c'était souvent le cas. Ils étaient enfin ensemble pour sortir les plats pour le critique gastonomique.Une fois les plats servi, une fois la critique faite, le critique salua l'énergie de la personne qui malgrés son grand âge avait toujours autant d'énergie à revendre."La cuisine c'est toute ma vie monsieur. Je ne pourrais jamais me passer de ça." sourit la dame en rendant tout de même son tablier au jeune chef, qui une fois de plus se trouva fort admiratif face à cette femme fabuleuse.A suivre...
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